Calvaire du bas de Sainte-Anne ou Calvaire Hubert Mayrand


* Présentement en restauration

Identification :

  • Calvaire du bas de Ste-Anne, situé au 1265, Route 138, Ste-Anne-de-la-Pérade, terre principale, érigé en 1893.
    Propriétaire : Madame Suzanne Barrette.
  • Ce calvaire constitue un joyau patrimonial important, tant pour notre localité que pour le Québec, et fait partie de notre culture et de notre histoire.
  • Ce calvaire est classé parmi les vingt-cinq plus belles réalisations de ce genre.
  • Cité monument historique par le conseil municipal de Sainte-Anne-de-la-Pérade, le 3 juillet 2012.

Intérêt architectural :

  • Croix de bois peinte en noir, extrémités à décor polygonal, figuration peinte en noir et blanc.
  • Édicule de bois polygonal ouvert sur 4 faces, toit de tôle à 4 pans couronné d'une croix.
  • Corpus sculpté par Louis Jobin. Ceint d'une clôture et accessible par des marches.
  • Date d'édification : 1893.

Intérêt historique :

  • Ce sont les gens du bas de Sainte-Anne qui ont organisé des corvées pour financer (grâce à une pièce de théâtre) et construire ledit calvaire.
  • Celui-ci a été béni en juillet 1893 par Mgr Laflèche, un ressortissant du village devenu évêque de Trois-Rivières.
  • Il a été installé sur la propriété où est né Mgr Albert Tessier, illustre fils de la localité.
  • Hydro-Québec a permis la restauration du calvaire en 1990 dans le cadre du programme de mise en valeur de l'environnement du projet Radisson-Nicolet-Des Cantons d'Hydro-Québec.

Intérêt social ou culturel :

Lieu de rassemblement à l'occasion de certains moments forts de la vie religieuse. Identitaire de la foi catholique qui était la règle générale à ce moment-là.

  • Site utilisé pour la récitation communautaire du chapelet du soir durant le mois de Marie et célébration spéciale lors de la fête de Sainte-Anne.
  • Lieu de recueillement local : les hommes levaient leur chapeau en passant devant et les femmes y disaient une petite prière.
  • Beaucoup de temps, d'argent et de zèle ont été nécessaires à la réalisation et au maintien de ces monuments.
  • Témoin de la solidarité qui anime la société québécoise.
  • Fierté des habitants du coin.

Calvaire du Rapide Nord

Calvaire du Rapide Nord
* Présentement en restauration

Identification :

  • Calvaire du Rapide-Nord, situé au 230, Rang Rapide Nord, Ste-Anne-de-la-Pérade, vers 1820; propriétaire : Monsieur Étienne Tessier.
  • Ce calvaire constitue un joyau patrimonial important, tant pour notre localité que pour le Québec, et fait partie de notre culture.
  • Le calvaire du Rapide Nord est classé parmi les vingt-cinq plus belles réalisations de ce genre.
  • Cité monument historique par le conseil municipal de Sainte-Anne-de-la-Pérade, le 3 juillet 2012.

Intérêt architectural :

  • Croix de bois peinte en noir, extrémités à décor fleuronné, édicule de bois entouré d'une clôture et garni de marches, polygonal ouvert sur 4 faces, toit à 4 pans de tôle couronné d'une croix.
  • Le Christ est sculpté et peint en beige et bleu pour le pagne.
  • Date d'édification : vers 1820.

Intérêt historique :

  • Ce calvaire aurait été érigé, selon la tradition du lieu, à la suite d'une vision du Saint-Sacrement qu'aurait eue probablement la femme de Paul Tessier qui gardait la maison pendant la messe. Il s'écroula à 2 reprises, fut déplacé et reconstruit.
  • Le Christ fut emprunté pour le tournage de la télésérie "Les filles de Caleb".
  • Restauration par Hydro-Québec, en 1990.

Intérêt social ou culturel :

Lieu local de rassemblement à l'occasion de certains moments forts de la vie religieuse. Identitaire de la foi catholique qui était la règle générale à ce moment-là.

  • Site utilisé pour la récitation communautaire du chapelet du soir durant le mois de Marie et célébration spéciale lors de la fête de Sainte-Anne.
  • Lieu de recueillement local : les hommes levaient leur chapeau en passant devant et les femmes y disaient une petite prière.
  • Beaucoup de temps, d'argent et de zèle ont été nécessaires à la réalisation et au maintien de ces monuments.
  • Témoin de la solidarité qui anime la société québécoise.
  • Fierté des habitants du coin.